On écrit pour dresser le bilan de ce qu'on lit, puis on lit pour dresser le bilan de ce que l'on écrit. Le premier lecteur possède moins d'a priori que le second, qui s'est trouvé en cours de route, et ne compte pas se délester d'une si bonne compagnie aux profit d'autres moins réconfortantes.
Etienne Milena ©
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